23 novembre 2024, Réunion Promo

Texte d’Alain Malnuit.

Voilà c’est fait, samedi 23 novembre 2024, par un petit temps frisquet, une grosse quarantaine de valeureux et valeureuses s’est réunie au siège des Gueules Cassées dans le 8^ième.
Les quelques photos jointes illustrent à elles-seules l’excellente ambiance.
Jean – Luc a poursuivi les dédicaces de sa BD et nous a indiqué que le livre biographie de notre parrain devrait être édité d’ici 2 à 3 ans ; le temps nécessaire pour lui permettre de boucler les recherches en cours.
Ce gros, très gros travail de thésard dépassera de loin en tout point, celui de Gmelin nous affirme-t-il… Jean Luc nous avons hâte de te lire. La BD est dense, riche, bref elle est top.
Encore merci à Luc pour nous avoir permis de nous réunir dans un lieu magnifique, siège d’une association qui mérite notre respect.
Ah si j’allais oublié, Luc a souligné que nous n’étions que 45 a être adhérent à la Saint-Cyrienne…. Pas bien…. Alors action les amis.
Et puis, autre gros clin d’œil…. Le musée de l’officier à Coëtquidan a besoin de votre contribution… vous pouvez Alain Malnuit ou Vincent Le Cour Grandmaison qui est le président de l’association des amis du musée.

Pour poursuivre le thème de la rubrique “la promo publie”, je vous fais part de la parution courant décembre du livre écrit par Eric Burgaud.
En pj la 1ère et 4ième de couverture.
Mesage d’Eric Burgaud: “Comme on en a parlé, je t’envoie quelques mots de présentation et un visuel de la couverture de mon (futur très proche) livre à paraître chez L’Harmattan début décembre sous le titre “tuer ou désobéir – le dilemme d’un soldat” ; avec la préface d’un haut magistrat (Bruno Cotte, actuel président de l’académie des sciences morales et politiques / ancien juge du TPI).
En décembre 2012, 4 soldats – dont je suis – attendent le verdict de la cour d’assises. 7 ans après un déferlement politico-médiatique, l’affaire Mahé connait son épilogue judiciaire.
Lors des 9 jours de débats, au-delà des faits, c’est à un affrontement de sacrés dont il est surtout question : la force du droit (curieusement commun) constitue le sacré de la justice. Les soldats quant à eux – théoriquement dépositaires du droit de la force – affirment le sacré de leur mission, de leur engagement, de la protection des populations et de la paix. Les deux sont-ils seulement compatibles ?
Et vous, qu’auriez-vous décidé, comme soldat d’abord, comme juré ensuite?
Ce livre pour construire votre intime conviction.”